Meilleure option d'un point de vue éthique
Les cultures et les coproduits peuvent être utilisés comme denrées alimentaires pour la consommation humaine, comme aliments pour le bétail ou comme biomasse pour la production d'énergie : denrées alimentaires, aliments pour animaux ou combustibles. La question de savoir laquelle de ces options est la meilleure ou la plus durable fait souvent l'objet de débats. La question est complexe et la valorisation optimale est déterminée au cas par cas.
L'échelle de Moerman est un modèle fréquemment utilisé pour orienter ce débat d'un point de vue éthique. L'échelle analyse la meilleure façon, d'un point de vue éthique, de valoriser les flux résiduels (provenant par exemple du processus de production, du commerce de détail ou du consommateur).
Selon M. Moerman, l'idéal est d'utiliser les cultures et leurs produits résiduels comme aliments destinés à la consommation humaine. Si cela n'est pas possible, il faut privilégier l'utilisation de ces produits comme aliments pour le bétail. En effet, les vaches et les porcs transforment ces flux résiduels en viande et en produits laitiers à haute valeur nutritive pour l'homme. Si cela n'est pas possible non plus, les flux résiduels peuvent être utilisés pour la production d'énergie.
Les produits résiduels achetés par Duynie ne sont plus utilisables pour la consommation humaine. Nous les utilisons pour la meilleure option suivante : la transformation en aliments pour le bétail. Nos coproduits sont donc un choix durable. Cette page présente nos coproduits sous l'angle de deux aspects qui jouent un rôle important dans la détermination de l'option « idéale » : l'utilisation des terres et le climat.
